Les grands groupes de l’aérien maintiennent les annonces de suppression de milliers d’emplois : 700 postes chez ADP, 7500 postes chez Air France et ses filiales comme Servair. L’indemnisation de l’activité partielle n’est qu’un répit.
Malgré la « suspension » de la privatisation d’ADP et le prêt de 7 milliards accordé à Air France, les directions recourent à la sous-traitance et cherchent à négocier des « Accords de Performance Collective » : augmentation du temps de travail, suppression de congés payés, de RTT, de primes… Une première manifestation a eu lieu en octobre pour refuser ce chantage.
Dans tout le secteur aérien, travailleuses et travailleurs doivent s’organiser et lutter solidairement pour leurs emplois, leurs salaires et leurs conditions de travail !
John
