Macron : candidat des riches et du sécuritaire

Cinq ans de Macron, c’est des centaines de milliards qui sont allés de nos poches (impôts, travail…) à celles des plus riches. Le CICE et le « plan de relance » de 100 milliards n’ont bénéficié qu’aux grands patrons. Malgré la crise sanitaire, les dividendes du CAC 40 vont augmenter de 40 %, alors que les salaires stagnent. S’il est réélu, il envisage dans son « plan France 2030 » 30 milliards de plus de cadeaux aux grands capitalistes français.

Lors de la conclusion du « Beauvau de la sécurité » il a dit que la « sécurité est la première des libertés », plagiant sans honte Jean-Marie Le Pen qui utilisait cette expression dans les années 1990.

Depuis plusieurs décennies (en particulier après les attentats du 11 septembre 2001), la « sécurité » est devenue synonyme de privation de libertés et de répression (confinement, dérogations de déplacement, pass sanitaire etc).
Dans sa pré-campagne, Macron va sur le terrain de cette pseudo sécurité et de l’immigration, comme les autres candidats, pour diviser la population, polariser le débat et ne pas parler de son bilan social et économique.

Article paru dans l’Egalité n°207