Couleur de peau, nationalité, nom à consonance étrangère, a priori sur leurs capacités et compétences… Les femmes étrangères sont fortement discriminées dans un système capitaliste basé sur le profit maximum, les cantonnant à certains métiers physiques, sous qualifiés, à haute pénibilité et bien sûr mal payés : services personnels et domestiques, ménages pour des hôtels et restaurants…
Souvent en situation de dépendance administrative et parfois d’hébergement vis à vis de leur employeur, leur situation est d’autant plus précaire face à l’exploitation et aux violences subies. Les organisations ouvrières doivent apporter toute leur solidarité et encourager toutes celles qui subissent de multiples oppressions à s’organiser et à lutter avec la classe ouvrière pour gagner de meilleures conditions de vie et de travail.
Troisième partie de notre dossier consacré aux violences sexistes et sexuelles paru dans l’Égalité n°225. La première est ici et la deuxième là.