Ancienne travailleuse sociale, aujourd’hui formatrice dans ce secteur, j’observe chaque jour à quel point le capitalisme détruit. La pression budgétaire, la destruction des services publics, la précarisation croissante : tout cela pèse autant sur les personnes accompagnées que sur celles et ceux qui les accompagnent.
Je suis sensibilisée à la politique depuis longtemps, mais il m’a fallu du temps pour trouver un cadre qui dépasse la simple réaction, un espace qui propose une véritable alternative. C’est à Montélimar, dans une manifestation, que j’ai rencontré la Gauche Révolutionnaire. Ce que j’y ai trouvé m’a parlé immédiatement : une organisation claire dans sa ligne, avec un projet de rupture, assumant la nécessité d’en finir avec le capitalisme et de construire le socialisme.
La GR défend la mise en propriété publique des grandes entreprises afin de répondre enfin aux besoins collectifs. La GR est un parti internationaliste. Elle porte une vision de rupture à l’échelle mondiale, car les injustices que nous vivons ici sont liées à un système global. Aucun changement profond ne pourra se faire sans coordination des luttes au-delà des frontières.
Au-delà du projet, j’ai aussi trouvé un collectif vivant. Un lieu de formation politique, de débat, d’échange entre personnes de tous horizons. La lutte n’est pas abstraite, elle est quotidienne, elle se prépare, elle s’organise. C’est pour ça que j’ai rejoint la GR : pour ne plus subir, pour lutter, et pour construire l’alternative socialiste dont nous avons besoin !
Par Gigi, article paru dans l’Égalité n°229
